De La Solitude (9)

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Ce qui est beau, c’est de laisser courir le temps, sur l’onde de l’appauvrissement et d’ouvrir les yeux au levant, même si la nuit vient nous rappeler au jour, quand s’enroule en elle les lieux du firmament, et là, le Tout est entier sans qu’il ne manque strictement rien. L’on pourrait dire ceci ou cela, pourtant, est-il un seul moment qui ne soit bu à la coupe de Son Présent ? La Solitude n’est point l’écartement social, mais la sociabilisation exacte au moment de La Présence. Cette richesse est vacuité, mais aussi absoluité de plénitude. Lors que La Solitude s’installe, sans exclusion, sans trouble, sans rejet, sans mépris, alors l’ivresse atteint Son Apogée. Il n’est plus aucun sujet, ni chose, ni lieu, ni non-lieu, mais perpétuelle naissance en Sa propre Altérité, Reconnaissance ultime qui, une fois née au centre, c’est-à-dire en L’Origine de L’Alpha et L’Oméga, en ce que nous nommons souvent le Dedans, afin de distinguer l’énormité distancielle de ce qui nous sépare de l’Unité, car distinguer un Dedans et un extérieur est, en vérité, à nous révéler combien nous nous sommes éloignés des moyens que la nature met en oeuvre pour nous permettre de comprendre L’Origine du point commençant et du point finissant. Il s’agit pourtant d’accueillir savamment Le Savant. En Lui, en ce témoignage de L’Œil de La Transcendance, Œil du Témoin, troisième Œil et non unique œil, ce regard borgne qui sévit actuellement, œil figé en la superficialité plane de la mécanicité vivante d’un mental spoliateur. La Vision géométrique est une vision tridimensionnelle et il serait même injuste de limiter cette vision à une tri-dimension spéculative. Physiquement parlant, nous sommes bien plus qu’un fonctionnement vital. De fait, nous ne sommes pas seuls, tandis que la vraie solitude est une Géométrie de perceptions multidimensionnelles. Le Centre est le lieu de L’Axe de notre propre polarité, délivré du multiple épars, mais réintégrant en L’Un la diversité. La stabilité correspond à la petite aiguille d’une horloge placée en l’exacte pointure de la grande aiguille. Comprends-bien.

Dialogue de L’Âme en L’Âme

Echo à Du guerrier de la conscience ; La voie du Samouraï ou le Rônin

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Essentialité en L’Enthousiasme, spontanéité de Rencontre en L’Âme, car qui ne fige, reconnaît. Le Juste, suspendu en cette Conscience d’Amour, du Regard en Le Regard :

De l’intériorité des choses que l’on soupçonne à peine, en cette Ascèse impeccable, en son impeccabilité d’imperfection et d’altérité, en l’observation méthodique, en ce ralentissement en ce basculement, lors que plus rien n’est réellement effort, mais seconde féconde de suspension, au souffle uni à L’Âme, et donc au Souffle, juste ce Retour qui devient témoignage, déploiement et fidélité à l’instant, lui, équilibriste dont on est étreint de par La Présence : Beauté ! Comment reconnais-tu Le Juste ? Lors que libre, tu marches et que Le Maître est en toi, nouveau-né émerveillé, Lumière qui donne à L’Harmonie…
Révérence en L’Âme !

En ce Temps qui s’écoule, au bruissement furtif de L’Eau, le cœur compagne, subtil, en secret tous ses frères, lors que Le Samouraï est Le frère du Temps, éternité fécondée au goût des promenades solitaires.

Merci

Philosophia perrenis : Le Cœur

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La Voûte est unique et sacrée. Elle est aussi multiple. Être en L’Accueil, c’est être finalement en ce pouvoir d’intégration en Lui. Unifié, résorbé, émancipé, scrutateur en L’Observation depuis Le Centre. S’asseoir et Être Libre. Libérer L’Être. Sa parabole est l’évocation d’un Arbre. Souviens-toi. Imagine la germination lente, bienveillante en ce silence de la vie frémissante, se cherchant, se dévêtant, s’invitant, se dévoilant, s’occultant. Imagine ce que peuvent être les océans d’infinitude, lors que Le Jardin s’éveille ici, en L’Au-delà, et qu’il ne soit plus aucun mot pour exprimer ce que le cœur reçoit. Il est en cette Apnée, à peine murmure, poursuivant les vagues du Souffle suspendu. Il ressent la pâleur du jour, les écorchures du vent dans les feuillages au repos, il entend les couleurs se fendiller d’éclats insolites, il devient les pas sur une allée totalement inconnue. L’imprévisible s’avance, se distance, s’apprivoise et il ne prononce plus qu’un seul mot : Amour. Au cœur des Lettres, au cœur des Rites, au cœur des gestes, il cesse de parasiter par les a priori tout jaillissement virginal. Il se laisse submerger par toutes les Traditions, et il n’en voit qu’Une. Comme sont pauvres ceux qui finissent par croire que Le Vivant n’est pas Fort de Son Vivant. Pleurez mes frères, pleurez d’avoir en défendant vos terres, vos religions, vos dogmes, pleurez d’avoir méconnu Le Vivant !  Pleurez, pleurez mes frères d’enfermer les dieux, d’enfermer Le Dieu, d’enfermer vos âmes dans la prison des corps de haine. Pleurez de voir le mal, de désirer la mort, de vous heurter à ce que vous ne comprenez pas. Pleurez mes frères, pleurez de vous entortiller dans les croix et les passions, de vous meurtrir des nœuds du fiel. Pleurez, pleurez mes frères de ne plus voir Le Vivant ! Le cœur bat au pouls de Son Artère. Pleurez, pleurez mes frères de vous fondre dans l’ignorance et de vous enfermer dans vos vindicatives erreurs, abreuvées de vos manques de lucidité. Vous informerai-je de vos erreurs ? Vous parlerai-je de vos confusions ? Le faut-il ? Sera-ce par la raison que mes paroles seront à vous atteindre ? Tant de méprises ! Quand donc comprendrez-vous ? Le Dieu vous confie Le Secret et vous en faites une arme contre votre frère ? N’a-t-il pas été créé pour que vous le regardiez ? Comment pourrez-vous connaitre Celui qui déploie L’Infinité ? Êtes-vous malentendants ? Vous bouchez-vous les oreilles sciemment ? Je vous le dis en vérité : vous crispez vos cœurs. Vous entrez dans la prison de la cécité. Vous atrophiez volontairement votre corps et le menez en ces dispositions d’enfermement.


Appendice : Au cœur de la nuit, il nous est parvenu ces propos et nous nous sommes arrêté, surpris par leur cohérence : Jésus qui s’en venait rappeler à ses frères les douloureuses impiétés, et dénoncer ce qu’ourdissaient leurs âmes appauvries par les ruses diverses de la vie, obscurcies par la convoitise, leur annonça la bonne nouvelle : croyez en Moi, car, nul ne parvient au Père sans passer par Moi. Je suis envoyé à vous pour vous offrir le rachat de vos péchés, Ô mes frères ! Ecoutez votre Seigneur ! Je vous rappelle à l’obéissance, à l’acte du Retour. Ceci s’adresse à vous, car il vous vient cette Nouvelle du Cycle nouveau de L’Alliance. Renouer avec celui dont vous voulez méconnaître les signes de La Parole Transcendante. -Vas-tu nous apprendre ce dont tu n’as aucune science, lors que nous suivons Les Lois de Moïse ? Je vous le dis, en vérité est venu le temps de vous libérer de vos péchés et de toutes les mésalliances. Craignez votre Seigneur qui vous connait. Je vous apporte cette Parole afin que vous entriez en cette nouvelle ère. Mais les frères ne voulurent point entendre, hormis quelques-uns. La Parole était lourde pour leur âme. Jésus s’en alla. Je sus que les péchés sont en la méconnaissance de la Transcendance. Le Vent souffle en Elle et c’est d’Elle qu’est La Vie. Il n’est aucune Reliance possible qu’en La Vie. Entends comme Il te parle et c’est en toi que sont ces subtilités alchimiques. Je vous le dis en vérité, tant que le noyau n’est pas fendu, vous ne verrez pas Le Père. Je suis Cela qui fend. Je suis Cela qui donne à La Vie. N’avez-vous donc pas compris ? Ne renie pas Ma Parole insufflée au cœur de ton frère. Si tu ne me vois pas en lui, tu ne peux Me voir.

Je Te le dois

84Peinture de Mahmoud Farshchian

Toutes les fougues, je Te les dois, toutes les exponentiations de Ton Regard, je Te les dois, tous les faux pas, je Te les dois, puisqu’ils m’emmènent encore vers Toi. Toutes les obscurités, je Te les dois, puisqu’ils m’ont donné à Ta Lumière. Toutes mes absences, je Te les dois, puisqu’ils m’ont menée à Ta Présence. Toutes mes méconnaissances, je Te les dois, puisqu’ils m’ont fait don de Ta Connaissance. Toutes mes peurs, je Te les dois, puisqu’elles m’ont conduite à Ta Paix. Toutes mes sécheresses, je Te les dois, puisqu’ellles m’ont inondée de Tes Larmes. Tous mes Silences, je Te les dois puisqu’ainsi j’entends Ta Voix. Toutes mes errances, je Te les dois, puisqu’elles m’ont menée vers Ta Guidance. Toutes mes fautes, je Te les dois puisque Tu me donnes à Ta Sainte Gloire. Toutes mes exaltations, je Te les dois puiqu’elles sont La Flèche puissante d’un magistral Carquois. Le mal de Toi est Le Bien de Toi. Tout est dans Le Corps du Regard, Cœur de Lumière, lors que les Yeux sont ceux du Cœur. Rien ne disparaît, tout Bascule en Toi. Tout se résorbe en Toi. Tout est Clameur des Noces en La plus pure Alcôve. Voix qui élargit Le Cœur des Ondes impossibles à anéantir, car Tu es L’Alpha et L’Oméga. Que rugissent donc les océans, que brassent donc les ténèbres les remous de l’insondable, que celles-ci descendent puiser leur l’énergie destructrice, Rien ne peut T’atteindre, ni démons, ni faussaires, ni usurpateurs, ni décadents ! Tu n’as pas déserté Le Monde, mais Le Monde ne Te voit pas. Il ne connaît pas Ta Force, ni Ta Présence. Il ne connaît pas les secrets de leur machiavélique complot. S’ils savait, ces faussaires, ils mettraient genou à terre. Quand ils ne Te voient pas, c’est que Tu jettes sur leurs yeux le voile du Grand Guerrier. Tu ne donnes La Parole qu’à celui que Tu choisis, et tout mensonge se désagrège devant L’Implacable Vérité, Onde Ultime du Cri dernier. Ne sera trompé que celui qui cultive le mensonge, ne sera banni que celui qui Te rejette : telle est La Loi immutable dont ils n’ont aucune connaissance. Alors, je le dis, tout atome de Lumière est L’Eden des malheureux. Que brille votre Étincelle et n’ayez peur ! Lumière sur Lumière ! Là où Mon Regard se pose, il est La Miséricorde du Souffle et Je suis plus fidèle que vous à Ma Promesse.

Je ne suis pas venu

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Je ne suis pas venu pour défendre une nation, ni ne suis venu pour vous unir en une paix factice qui serait encore à vous ensevelir. Je ne suis pas venu pour feindre L’Amour, et que vous vous gargarisiez d’hypocrisie, ni ne suis venu pour que vous soyez asservis par vos illusions. Je ne suis pas venu pour vous disputer vos femmes, ni quereller le voisin. Je ne suis pas venu pour asseoir votre pouvoir, ni vous parler comme vous aimez entendre. Je ne suis pas venu pour prolonger vos vices, ni vous donner bonne conscience. Je ne suis pas venu pour racheter vos péchés, ni pour faire usure de vos âmes. Je ne suis pas venu pour vous complimenter et vous encourager au mal. Je ne suis pas venu pour vous lier les mains et que vous pleuriez de chagrin. Je ne suis pas monté sur la croix pour que vous souffriez mes douleurs. Je ne suis pas venu pour vous aliéner à moi, ni vous convaincre d’aucun subterfuge. L’Âme est inondée de larmes et le Ciel s’épouvante de vos incohérences. Tout ce qui apparaît en vous est votre miroir. A la potence vous me menez et c’est vous qui crucifiez vos corps. Je ne suis pas venu pour vous conforter, ni vous plaire. Je ne suis pas venu pour que vous m’attendiez selon votre image et que vous fassiez de moi une idole. Je suis La Chair de votre Cœur et mon sang est votre Alliance en cette Réalité qui vient vous apprendre à renoncer à vos tourments. Ce que vous pensez de moi, je le suis pour vous. Ce que vous suivez, je le suis pour vous. Mais je ne suis pas venu pour vous agréer tel que vous me portez en vous. Je suis venu pour que vous receviez en ce cœur les paroles de votre propre Retour.

Coalescence

Résultat de recherche d'images pour Peinture d’Alphonse Osbert (1857-1939)

Les journées sont éthérées, au delà de la glauque apesanteur des mondes infernaux, densification des vibrations basses, et c’est bien plus tard que dans les descentes concentriques que l’âme se révèle en sa détresse et voit ce que réservent les déviances que l’on écoute comme de possibles cauchemars. Elles hantent l’âme faible, l’âme vile, celle qui approuve l’abandon des lumières et toi, ne proclame point que les ténèbres ne font pas de mal. Sont-ce les déferlantes des psychismes inavoués en leur turpitude déguisée ? Ton âme est une force colossale et c’est en son terrible secret que l’oubli ourdit le complot de la nuit. J’ai entendu avec les écorchures vives du malheur mon cœur pleurer et saigner pour l’humanité et toi ne prétends jamais que L’Amour n’est pas Puissance culminante qui soulève tout L’Océan de Sa Houle et dévaste les horreurs amoncelées au sommet de l’ignorance.  J’ai entendu les plaintes rugissantes de la pauvre fille que l’on blesse et les dénis de toutes les impostures au nom des sentiments déguisées de valeurs prétendument sûres. J’ai pleuré les ouragans de la déchirure quand les mondes ploient de l’imposture. Il est un Bâton, et Le Calame trempe ivre dans les vagues du Seul Amour qui est Ciment de nos lamentations. J’ai pleuré les siècles entiers de nos déboires et j’ai caressé les rivages de toutes nos blessures. L’Âme s’élève au dessus des sphères de la déviance et défend l’orphelin. Ma fougue vient de cet Amour qui me dépossède de tout et je suis témoin du siècle de la souffrance, de la dépravation et de l’orgie. J’ai traversé tous les temps à la nage de mon désespoir et j’ai regardé les yeux de La Baleine qui du fond des abîmes est blanche de nos écumes. J’ai pleuré ce garçon perdu dans les sillages des paroles dures et j’ai tremblé d’effroi lors que j’ai entendu les enfants devenir des êtres sauvages. N’est-ce pas ainsi que les blessures ont l’effet de châtiments ? Le Temps est venu pour la fin de tous les cauchemars. Que soit scellé ce qui doit être scellé tandis que je connais les nouvelles de L’Autre Rive. Les lumières Christiques nous déchirent du Tout Amour. Comme sont douloureuses ces larmes qui fendent les cieux. La Supplique est Le Secret de notre Espoir. J’ai vu l’atome de Lumière devenir un sourire et depuis ces gestes de l’humanité compatissante, j’ai vu les effets de L’Approche. Comme se contracte Le Ciel de douleur ! En cette Terre, il est un Grand Secret. D’Elle nous sommes venus, et d’Elle nous sommes les héritiers. C’est en La Matrice d’un Nouveau Monde, Coalescence de L’Âme, que nous sommes à renaître et à vivifier L’Alliance du Corps et de L’Esprit. 

Le Livre de La Primordialité*

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Des Sources, au long frémissement des voiles, devenues pour chaque ourlet, L’Infinitude de Ton Aube, et nul ne sait combien sont visitées les secrètes assemblées, lors que de L’Ascension, au point crucial de L’Alchimie du basculement, lors qu’en ces nuits, durant de longues années, à nous laisser pétrir par les ondes, Le Soleil révèle un univers que l’on soupçonne à peine, tandis que des mondes qui se coalitionnent, certains sont les vestiges visibles du passé. Ils appellent depuis l’insondable et se laissent guider par L’Offrande, aux nues de chaque drapé. Du Papillon de L’Éthéré, nous parvient Le toucher d’une Visite en cette Nuit du Destin. Est-il un autre Lieu que celui de La Destinée, lors que La Présence est perpétuelle ouverture et lecture d’un Parchemin, au son d’une Lyre que seule l’oreille de l’ôte perçoit ? Nous ne brodons aucun des mots, seuls les mots se brodent en ce témoignage et de L’Invisible, se crée Le Nouveau Monde que l’on appelle depuis Son propre Appel. Est perçu ce qui se perçoit en ce murmure qui devient subtil et dont le voyage est en ce clignement à peine perceptible de L’Œil interne. Celui-ci est relié définitivement à l’ombre et à la Lumière, éclairant du Toucher de La Fulgurance cette Réalité descendante du Mystère. Tel est ce qui nous parvient des concrétudes du monde de L’Esprit. Nous nous laissons cueillir depuis de nombreuses nuits, nuits de l’occultation, nuits de la visibilité et n’est hermétique que le langage du Royaume de L’Éthéré. S’il est une chute, elle est en L’Esprit, puisqu’il est une Remontée, et L’Âme qui pérégrine, fait mention des haltes et raconte ce que les yeux ne savent appréhender qu’en cette fulgurance de La Lyre. La Lumière épouse et oscille à chaque clignement des yeux, ceux de L’Esprit car ceux du monde de l’apparence sont limités et ne peuvent que se figer au décor. Les paraboles sont les véhicules d’une langue très ancienne, celle du Cœur de L’Épousée. Cette Quintessence primordiale est L’Origine éternelle et vibrante.  Le Corps est invité en L’Union de L’Âme et du Vivant. Ainsi, la transfiguration devance tout mental et ne peut être saisie par les sens externes. Elle devient L’Arche de L’Alliance et Le Vaisseau des mondes déployés en ce cœur d’Amour. Tout se répand en Lui et tout se comprend en Lui, Source de La Cordée, Anse lancée depuis les hautes Sphères, lors que le four de L’Athanor est La Bienveillance bouillonnante. Lumière touchant La Lumière, Reconnaissance, Lien supra-mental avec Le Corps devenu éthéré. Il vogue déjà sur d’autres rives que nul ne peut soupçonner. Il en revient avec la même Fulgurance et marche comme tout le monde sur le sol de La Matrice. Tel est Le Royaume de L’Intelligence. Telle est L’Oeuvre de La Culminance. Te parlerai-je prochainement de La Source Une ? En cette concrétude, en cette consécration, Le Livre des Sceaux de La Réalité, Lecture des sphères de Conscience, Oeuvre en L’Ouverture exponentielle au Rythme du Souffle, Architecture subtile faisant Un avec Le Corps en sa Totale complétude, parachèvement des Sceaux de La Sainteté, parachèvement des Discours de tous les verbes, lors qu’Il est Le Premier en Sa Descente et Clé des ouverture de toutes les obédiences en ce Livre-Mère, OM-AL-KITAB, Livre de La Primordialité, Océan de navigation Unitive quand même il serait en cette singularité multiple. Al Koran, car tout être est en sa Lecture des Phrasées des Sphères, Révélation en L’Étreinte unitive de L’Archange Gabriel, Jibril, celui qui élève et encercle en La Haute cime des Ondes, celui qui cimente et unifie, celui qui lie et celui qui guérit toutes les blessures, en ouvrant Celle qui ouvre par les sept sphères de L’Ascension, jusqu’à la huitième cachée, menant au Par-Delà…


*Le Livre de La Primordialité est Le Livre de L’Âme, Le Livre singulier au sein du Grand Livre, témoignage de L’Acte de Retour et du Voyage, en oeuvre de Conscience et de parachèvement. Viatique Essentiel, apprentissage, Cordée avec L’Ici et L’Au-delà, en ces archétypes de Lumière, en ces Récits qui sont les nôtres, oeuvre alchimique de L’Être, Arche lisible et Reliance avec Le Nouveau Monde. Et Dieu est plus savant…

Voie du Vivant

Résultat de recherche d'images pour "jean-baptiste peinture"Copie partielle du tableau de José Leonardo

Voie du Silence, Cordée avec Le Vivant, celui qui redonne à chaque chose Vie, de par Le Verbe Jean-Baptiste de La Venue Éloquente (YAHIA), Celui qui nous saisit par sa fougue sans concession, par sa douceur au vent du Désert, celui qui ouvre par La Parole et L’Eau, La Véritable Union Mystique, Vitalité dynamique au sein d’un Baptême qui est Seuil du Renouveau. De La Main de Ton Cœur, Tu dissous en L’Eau nos doutes et irradies Le Cœur, Toi, Verbe rattaché au Père des Lumières de tous les Noms, Sceau des Réalités, Parfum du Monde d’Avant Le Commencement, Toi, qui l’annonces, qui le devances à peine de Ta Présence vivifiante, Rosée de nos Transpirs d’Amour. Je te parlerai des réalités exponentielles des Évangiles (Injil, Najala), qui donne en abondance, en profondeur la bonne nouvelle. Lumière et fulgurance du Tracé en cette guidance, lors que Le Cœur reçoit et nulle différence si ce n’est en ce figement des lettres. Il n’est qu’un Seul Retour et Il prend différents aspects. L’Éclosion de La Semence est irriguée de L’Intelligence, à L’Ombre du Trône, là où La Protection est suprématie du Roi. Pour que la Semence croisse, il faut que l’ancien monde périsse et lors, Le Noyau se fend. Il n’est de Lecture possible qu’en ce Livre ouvert, Arbre de La Connaissance. L’on appelle aussi L’Arbre de La Resplendissance des Majestés ouvertes en Corolles, Mains de L’Arbre des croissances et L’Arbre de toutes les Fleurs en Verbes de La Réalité unitive et singulière, Manifestée en cette Fluvialité de Vibrations, lors que L’Echo devient Silence assourdissant, puis infime phrasé épanché dans les univers singuliers et multiples en leur Révérence. Le Cœur reçoit. Le Cœur est Vase des Recueillements en La Vacuité. Plus il se vide, plus Il reçoit. Mille flèches ont percé Le Tunnel et Le Corps entier devient L’Arbre Cognitif des canaux de Lumière. Le Pérégrinant découvre Le Voyage au fur et à mesure, car de L’Inconnu, il ne connaît rien. Le Parchemin se déploie et chaque mot retentit en force vibratoire, en Ce Corps ordonné selon La Volonté de Celui qui sait. L’Arche est d’abord toute la déconstruction de Ton Corps. Le Corps est régi par l’ignorance, quand même l’homme est à croire qu’il sait tout sur tout. Lors du Basculement, cette mort qui nous réduit à La Poussière, Jean (YAHIA) celui qui redonne vie, qui abreuve le mort des Rosées Célestes, se révèle en Sa Réalité vivante, et Le disciple se retrouve de l’autre côté. Il est agi. Il entre en La Chute nécessaire et découvre les zones infernales, de par une vision sûre. Il s’agit du monde intermédiaire. Il comprend que la distance qui le séparait de cette Lumière est L’Enfer. Il découvre la mort des corps. Ceux qui détiennent l’implacabilité de La Vérité le lui apprennent. Il est en Cela de La Réalité quintessenciée de L’Humanité. Il tremble de peur, et sait que rien ne peut le faire s’échapper de cette Subtilité du Corps entier, dont L’Âme est au-delà de L’Animé (Prakriti en sanskrit IAST ; devanāgarī : प्रकृति)). L’on confond L’Animé qui est le vivant de toute Chose en cette Matrice et L’Âme, d’où ce figement possible en elle, lors que l’on ne sait s’extraire de l’illusion. L’on comprend que L’Enfant intérieur de La Migration, (transformation, transmigration), se devait de s’unir en L’Animé (Prakriti) et L’Âme. Telle est La Réalité humaine.

Voie de convergence lors que tous Les Pérégrinants se retrouvent, tôt ou tard, sur Le Chemin. Ni rivalité, ni séparation. Le Souffle est Un. L’Architecture donne aux questions qui sont réellement des réponses et c’est ainsi qu’Il met ce monde en Mouvant, de sorte que l’on soit à voir enfin en cette Vision contemplative les multitudes de L’Un. Dès que nous sommes dans l’identitaire, nous sommes à la surface des choses, mais lors que nous entrons en L’Essence, en L’Esprit, nous voyons ce qui nous relie et nous entrons en La Perception Reliante de Vie, au Commencement, en La Finalité UNE.

Loi dans le par-deloi

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L’Amour est Sa Loi implacable d’implacabilité, d’enseignement au sein de Lui-même et en Son Mystère qui nous rappelle à Sa toute Puissance et à Sa toute Volonté. Tout ce qui se nie est encore affirmation. Tout ce qui est non-manifestation est encore manifestation. Le fait que Cela soit, est une réalité au sein même de La Réalité. Ce qui apparaît est Dedans. Ce qui n’apparaît pas est Dedans. Telle est L’observation rendue consciente depuis le non-manifesté. Cette illimitation est à nous donner au perpétuel Voyage en Lui, car lors que tu t’abandonnes, c’est Lui qui en Sa Gloire te fait voyager. Le Périple n’est rendu visible que par l’effacement, au renoncement même du Voyageur. Il te cherche et te donne à cette Beauté ultime de Sa Proximité qui est au-delà de tout. Cela est non-loi au regard du commun ; cela est Le Basculement en cette Toute-Possibilité. Alors, Il te donne à réaliser ta véritable condition de Pérégrinant.  Le Chemin est visible aux yeux de Son unique Regard. Tu es Son Désir et tu entres en L’Émerveillement de Sa douce Bienveillance. Puisque tu sais que tu ne sais, et c’est par cette non-connaissance,  que tu es à même de voir ce que Lui te donne à voir et à comprendre. Lors tu n’as plus besoin de te voir, puisqu’Il te donne à contempler Le Contemplant et Le Contemplé.

La Soif de L’Assoiffé

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La Vallée de L’Amour est sans repos et se drape des voiles de la pudeur. En ce fleuve inépuisé, en l’écorchure des plaies du cœur, en la souffrance que tous veulent fuir, en la soif de l’assoiffé, est la Victoire occultée, le feu d’une braise dans le creux des mains des abîmés. Les éplorés de l’incandescent Amour connaissent la vague des tourments et ils sont les seuls à s’écrier : y en a t-il encore ? Ils se dressent avec la fougue de L’Amour qui n’est ni foi ni loi, qui est L’Au-delà, L’Au-delà, L’Au-delà… Qui veut percer en La Fulgurance, ne regarde ni à droite, ni à gauche. Je me suis vêtue des parures de l’indécence, m’échappant des indolences de ce monde endormi. Des confidences, j’en cache les larmes. De L’Océan, j’ai ri encore de Sa Limitation. Sur la Terre de mes blessures, je me suis allongée et j’ai laissé la tempête charrier le limon. Aujourd’hui encore je m’abreuve de mes nuits. L’ombre est Son Ombre et je bénis Le Rayonnement de Sa Solarité. J’ai dit : l’enfer n’est pas l’enfer puisque Tu y es. Douceur des brûlures rafraîchissantes ! Telle est La Promesse de La Parole du Bien-Aimé. Le Secret de Dieu est Le Secret de L’Homme, et Le Secret de L’Homme est Le Secret de Dieu. Que nous importe ceux qui ne voient pas ! L’Amour nous tient et La Pudeur est un millier de voiles que nul n’atteint, virginité des Terres immaculées, offrandes à L’Intimité des Houris. Des tapis ondoyants en ces nacres de pureté, j’ai fui les disputateurs et les philosophailleurs, railleurs de leur propre ignorance. La Voie est une Spirale ascendante en L’Arbre de notre Alliance. Ô courtoisies et soieries de notre Brise venue du Yémen, Souffle du Respir du Tout rayonnant d’Amour. Le Voyage en Toi est Le Désir mutuel de Ton Seul Désir. Que Ta Volonté soit ! Ce Désir est La Soif de L’Assoiffé. Musc des aspirations de La Création. Ne t’afflige pas des ténèbres de ce monde, ni des limitations. Que brûle Ton Feu Ardent des Verdures de L’Arbre du Retour ! Entre en La Voie de L’Assise. Abreuve-toi des Soifs de L’Assoiffé.