Essence des Mots, où Le Hasard* retrouvé

ebru yakın                                                                                                                                                                                 More

 

Le Monde est une Éclosion Verbale d’Amour à La Bouche de Dieu. Des Vibrations, encore nous y sommes et Les Mondes dont La Promesse est une Vérité, s’étendent en L’Exponentialité des voyages, en ces luminescentes effluves, encore, à L’Esprit devenu Son Coursier. Et L’Âme de Langueur amoureuse, de nostalgie intense, du Désir en Son Souvenir ardent, ondoie et retrouve Le Chemin du Retour. Sache, Ô Ami, que les mots sont les vaisseaux de notre Pouls Alchimique et que si Tu te confies à Leur pouvoir mantrique originel, Tu ne seras jamais perdu. Là où Le Roi de Ton Cœur, Le Souverain de La Terre Conquise en Ton intériorité, te mène, c’est en Sa Fleur éclose d’Amour. Tel est Le Jardin parfumé de Vérité vénusienne. Telle est L’Âme qui voit La Lumière, Flambeau des mots en Leur Sève allumée de L’Essence bénie. Telle est La Reliance. Telle est La Concordance du Ciel et de La Terre en leur Révérence. Telle est La Victoire de L’Unité.


*Hasard : de l’arabe az-zahr, qui signifie « Fleur » ou plus précisément Quintessence lumineuse, Fragrance de La Fleur, Rosée sublime. Or, de par l’usage des mots qui se séparent de leur essence et révèlent les interprétations usagères de récurrences admises, de par l’atrophie des mentaux qui ne font plus aucune reliance, qui ne sont plus en-dedans des choses, qui ont séparé les mots de Leur Réalité manifestée, de par l’éloignement de La Réalité Adamique qui possède en lui les quintessences et les substances de La Reliance avec Les Mondes de La Perpétuelle Création, devenu Corps de Sapience, Niche du Tabernacle des Lumières, Le mot Hasard, en cette Beauté du Retour, est à désigner La Réalité Absolue de cette Réalité Fluviale de La Fleur et non ce sens dérivé, lié à l’oubli, et qui charge le mot d’illusion, de déformation linguistique et de séparation avec Le Réel. De fait, il semble que les arabes avaient la pratique du jeu du dé, et qu’à chaque fois que le jeu était gagnant, l’on était à relier sublimement la victoire à cette Justesse du coup. Être au plus Juste, c’est-à-dire, être en parfait orbitage avec Le Sacré, avec les mondes invisibles, avec les concordances ! Comme l’on a si peu compris que le mental des Anciens, même ceux des moins conscients, avaient ce perpétuel état de présence qui leur donnait à désigner, à nommer les choses en leur parfaite exactitude. Réussir, ne signifie donc pas être chanceux de façon arbitraire, mais plutôt avoir trouvé l’alignement juste avec Le Ciel. Ce qui est en bas, correspond à ce qui est en haut. Tel est Le Hasard. Telle est La Verticalité. Telle est La Transcendance. Telle est L’Harmonie. Tel est Le Retour en substance de toutes choses. Il est judicieux aussi d’ajouter que le Livre des Mutations, Le Yi King relève aussi des sciences sacrées, et que les oracles ne servaient pas de divination, mais se cherchaient des couloirs de Reliance avec Le Monde d’en-haut, c’est-à-dire avec les Hautes Sphères de La Conscience, et donc des connaissances concomitantes. Nous y reviendrons…

6 commentaires sur “Essence des Mots, où Le Hasard* retrouvé

Laisser un commentaire