Toile de Michael Cheval
Au-delà des siècles qui naissent et s’éteignent,
Par delà les générations qui vont et viennent,
Les hommes tout autant s’empoignent ou s’étreignent ;
Il n’est nulle leçon ni raison qui les retiennent.
Pénétrés d’eux-mêmes, ils ne font que répéter
La même partie sur l’échiquier d’un jeu de feintes
Où l’on se fait mousser autant que maltraiter ;
Et cette comédie n’est pas près d’être éteinte !
Ils attaquent ou esquivent, jusqu’à l’échec et mat ;
Ils rêvent debout et se peignent la vie en rose ;
Ils déplorent les effets dont ils chérissent les causes.
Bossuet n’était pas le plus féru en math,
Mais sa sagesse n’eut rien à envier à personne,
Car à travers le temps, toujours ses mots résonnent.
Marc
La connaissance est donnée pour entendre ce qu’il y a de plus vrai,
comme l’amour est donné pour aimer ce qu’il y a de meilleur.
(Jacques Bénigne Bossuet (1627-1704), Sermon pour la profession de Mme Vallière)
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